Hotel a cote du Moulin Rouge
L’Hôtel Bertha Paris dispose de 28 chambres commodes avec salle de bain privée ou partagée, télévision, téléphone, bureau et service de réveil-matin. Ses chambres sont très lumineuses, les salles de bain propres et rénovés. Une relation optimum qualité-prix, offrant un excellent logement à petit prix.
L’Hôtel Bertha Paris est un hôtel
1 étoile qui se trouve dans le 17ème arrondissement, à deux pas de la Place
Clichy, à Paris, récemment rénovée. Il est fortement recommandé pour ceux qui
cherchent un hôtel économique et en plein centre de l’activité parisienne, il
est situé à quelques minutes à pied du Sacré-Cœur avec sa vue surplombant
Paris, Montmartre et ses artistes, le cimetière de Montmartre avec ses
célébrités dont Dalida, Sacha Guitry, Nijinski ou encore Emile Zola..., le
Boulevard de Clichy avec Pigalle et sa vie nocturne, le Moulin Rouge avec ses
fameuses danseuses. La place de Clichy, c'est également une multitude de
restaurants, cinémas, théâtres dont l'Hébertot, à proximité de l'hôtel Bertha,
le théâtre Mogador, l'Olympia.
Egalement, à quelques stations de métro, se trouve l’Arc de Triomphe, les Champs Elysées, L’Opéra Garnier, la Gare Saint-Lazare, La Madeleine, et bien sûr les Galeries Lafayette et le Printemps. La période des fêtes de Noël est particulièrement féérique, que ce soit aux Galeries Lafayette, mais également sur l'avenue des Champs Elysées, la Concorde avec sa grande roue, la Tour Eiffel scintillante et tant d'autres lieux... Paris, la ville Lumière s'illumine pour vous.
Le Moulin Rouge
Le Moulin-Rouge, également graphié Moulin Rouge4 (beaucoup plus rarement Moulin rouge), est un cabaret parisien fondé en 1889 par Joseph Oller et Charles Zidler, qui possédaient déjà l'Olympia. Il est situé sur le boulevard de Clichy dans le 18e arrondissement de Paris, au pied de la butte Montmartre. Son style et son nom ont été imités et empruntés par d'autres cabarets dans le monde entier. Ce site est desservi par la station de métro Blanche. La Belle Époque est une période de paix et d’optimisme marquée par le progrès industriel et un foisonnement culturel particulièrement riche. Les expositions universelles de 1889 (célébration du centenaire de la Révolution française et présentation de la tour Eiffel) et de 1900 en sont les symboles. Le japonisme, courant artistique d’inspiration orientale avec pour brillant disciple Toulouse-Lautrec, est à son apogée. Montmartre, au milieu d’un Paris de plus en plus gigantesque et dépersonnalisé, a su garder une ambiance de village bucolique6.
Il y eut jusqu’à 30 moulins à
vent sur la butte Montmartre (dont 12 rue Lepic) qui broyaient du grain, du
maïs, du plâtre, de la pierre. Étymologiquement, on oppose à « cabaret » ou «
cabret » (terme d’origine picarde, signifiant « petite chambre » ou «
établissement où l’on sert des boissons »), ce que Jean Deny appelle le
prototype arabe kharabat (« ????? »)7 signifiant « cabaret » en turc, persan et
pachto, ou encore khammarât « autre racine arabe proposée par Antoine-Paulin
Pihan. La revue est à l’époque une petite pièce comique ou satirique passant en
revue l’actualité et ses personnalités, avec humour et irrévérence.
Le 6 octobre 1889, ouverture du
Moulin-Rouge, dans le Jardin de Paris au pied de la butte Montmartre. Son
créateur Joseph Oller et son directeur Charles Zidler sont des redoutables
hommes d’affaires, qui connaissent bien les goûts du public. L’objectif est de
permettre aux plus riches de venir s’encanailler dans un quartier à la mode,
Montmartre. Le lieu extravagant – le jardin est agrémenté d’un gigantesque
éléphant – permet à toutes les populations de se mélanger. Petits employés,
résidents de la place Blanche, artistes, bourgeois, hommes d’affaires, femmes
élégantes et étrangers de passage s’y côtoient. Surnommé « Le Premier Palais
des Femmes » par Oller et Zidler, le cabaret connaît rapidement un vif succès.
À la fin du XIXe siècle, il existait deux Montmartre : celui des fêtes et celui des artistes qui venaient y chercher la qualité de la lumière au-dessus de la pollution de la grande cité et les loyers modérés. Ces deux mondes cohabitaient et se mélangeaient avec deux valeurs communes : le plaisir et la beauté. Les artistes de Montmartre impliquaient Henri de Toulouse-Lautrec, Auguste Renoir, Juan Gris, Georges Braque, Kees van Dongen, Guillaume Apollinaire, Alphonse Allais, Pablo Picasso, Marcel Proust, Maurice Utrillo, Amedeo Modigliani, Pierre Bonnard, Roland Dorgelès, Max Jacob, Pierre Mac Orlan. Au milieu d’une ville de plus en plus gigantesque et dépersonnalisée, Montmartre cultive son esprit village, grande famille qu’on s’est choisie, son aspect bucolique avec les vendanges, c'est-à-dire humain. Le Moulin-Rouge affiche « Bal, divertissements, variétés » ; Henri de Toulouse-Lautrec fête ses 25 ans, il est dans la salle. Visionnaires, Joseph Oller, créateur propriétaire et Charles Zidler directeur imaginent un lieu rehaussé d’un gros Moulin peint en rouge et illuminé la nuit afin d’être bien visible depuis les Grands boulevards et le bas de la rue Blanche. Le Moulin-Rouge, très différents des autres moulins de la butte Montmartre avait pour vocation essentielle d'être l'enseigne de l'établissement, dessiné par Adolphe Willette, il fut le premier bâtiment électrifié de Paris. Sa forme et sa couleur immédiatement reconnaissables en ont fait un des emblèmes de Paris.
Joseph Oller est un entrepreneur
visionnaire : inventeur du Pari mutuel en 1867, créateur d’un des premiers
grands parcs d’attraction avec les montagnes russes boulevard des Capucines en
1887, créateur de l’Olympia en 1893, entre autres. La femme prend une place
primordiale dans le cabaret qui promet « de l’or et des jambes de femme ».
Oller et Zidler voulait créer « le premier palais de la femme ». Le corps
féminin est alors très peu dévoilé dans la société et la curiosité excite les imaginations,
les fantasmes. La Goulue et autres chahuteuses dansent sur des rythmes
endiablés. Dès le début les hommes ont la vedette tout comme les femmes avec
Valentin le Désossé et la Goulue. Les deux ont été des vedettes instantanées,
mais Louise Weber surnommée « la Goulue » est devenue une véritable « star »
par son audace et son énergie. Tête d'affiche permanente, la Goulue est devenue
le synonyme du cancan et du Moulin-Rouge. Artiste la mieux payée de Paris, elle
était l'un des sujets favoris de Henri de Toulouse-Lautrec
Les hôtels de charme ou Boutique
Hotels sont généralement des hôtels avec un environnement unique ou un cadre
intime. Certains hôtels ont acquis leur renommée grâce à la tradition, en
recevant des événements ou des personnes importantes, comme Schloss Cecilienhof
à Potsdam, en Allemagne , qui tire sa renommée de la Conférence de Potsdam de
la Seconde Guerre mondiale avec les alliés Winston Churchill, Harry Truman et
Joseph Staline en 1945. Le Taj Mahal Palace & Tower à Mumbai est l'un des
plus célèbres et historiques hôtels de l'Inde en raison de son association avec
le mouvement de l'indépendance indienne. Certains établissements ont donné
leurs noms à un repas ou d'une boisson particulière, comme cela est le cas avec
le Waldorf Astoria à New York City, aux États-Unis où la salade Waldorf a été
créée ou bien l'Hôtel Sacher à Vienne, en Autriche, avec la Sachertorte. D'
autres lieux ont atteint la célébrité en association avec des plats ou des
cocktails créés dans leurs locaux, tels que l'Hôtel de Paris où la crêpe
Suzette a été inventée ou l'Hôtel Raffles à Singapour, où le Singapore Sling
cocktail a été conçu.
Un certain nombre d'hôtels sont
entrés dans la conscience du public à travers la culture populaire, comme l'
Hôtel Ritz à Londres, par le biais de son association avec Irving Berlin et la
chanson, ' Puttin' on the Ritz ». L' Hôtel Algonquin à New York est célèbre
cpour être le lieu de RV du groupe littéraire, l'Algonquin Round Table et
l'hôtel Chelsea, également à New York, a fait l'objet d'un certain nombre de
chansons, Andy Warhol y vivait et il fût également le théâtre de l'agression de
Nancy Spungen (prétendument par son petit ami Sid Vicious ).