Hotel pres du Cimetière du Calvaire
L’Hôtel Bertha Paris dispose de 28 chambres commodes avec salle de bain privée ou partagée, télévision, téléphone, bureau et service de réveil-matin. Ses chambres sont très lumineuses, les salles de bain propres et rénovés. Une relation optimum qualité-prix, offrant un excellent logement à petit prix.
L’Hôtel Bertha Paris est un hôtel 1 étoile qui se trouve dans le 17ème arrondissement, à deux pas de la Place Clichy, à Paris, récemment rénovée. Il est fortement recommandé pour ceux qui cherchent un hôtel économique et en plein centre de l’activité parisienne, il est situé à quelques minutes à pied du Sacré-Cœur avec sa vue surplombant Paris, Montmartre et ses artistes, le cimetière de Montmartre avec ses célébrités dont Dalida, Sacha Guitry, Nijinski ou encore Emile Zola..., le Boulevard de Clichy avec Pigalle et sa vie nocturne, le Moulin Rouge avec ses fameuses danseuses. La place de Clichy, c'est également une multitude de restaurants, cinémas, théâtres dont l'Hébertot, à proximité de l'hôtel Bertha, le théâtre Mogador, l'Olympia.
Egalement, à quelques stations de métro, se trouve l’Arc de Triomphe, les Champs Elysées, L’Opéra Garnier, la Gare Saint-Lazare, La Madeleine, et bien sûr les Galeries Lafayette et le Printemps. La période des fêtes de Noël est particulièrement féérique, que ce soit aux Galeries Lafayette, mais également sur l'avenue des Champs Elysées, la Concorde avec sa grande roue, la Tour Eiffel scintillante et tant d'autres lieux... Paris, la ville Lumière s'illumine pour vous.
Le Cimetière du Calvaire
Situé au sommet de la butte Montmartre, le cimetière du Calvaire, ou cimetière de Saint-Pierre-du-Calvaire, est avec celui de Charonne l'un des deux derniers cimetières parisiens jouxtant une église paroissiale. Avec une superficie d'environ 600 m2, il est le plus petit de tous les cimetières parisiens. 85 tombes y sont répertoriées. Accolé au côté nord de l'église Saint-Pierre de Montmartre, le cimetière tient son nom du jardin qui le prolonge et où se trouve un calvaire. Sa surface, qui intègre le point culminant du sol naturel parisien (à 130,53 m d'altitude)2, est d'environ 600 m2, ce qui en fait le plus petit cimetière de la ville. Enclos de murs3, il s'ouvre par une porte de bronze, œuvre de 1980 due au sculpteur italien Tommaso Gismondi (également auteur de celles de l'église voisine). Classé à l'inventaire des monuments historiques3, le site compte 85 tombes ; il n'est accessible au public que le 1er novembre (jour de la Toussaint). Le cimetière, réputé le plus ancien de Paris, est officiellement créé en 1688 sur un terrain cédé par Marie-Anne d'Harcourt, abbesse bénédictine de Montmartre, à l'emplacement supposé d'une ancienne nécropole mérovingienne.
Agrandi en 1697, il est fermé lors de la Révolution car il faisait partie de l'ensemble monastique de l'abbaye royale de Montmartre (lors de la Révolution, les cimetières étaient considérés comme des biens du clergé) et fut totalement démantelé. Ainsi par la loi du 15 mai 1791, ils furent considérés comme biens Nationaux et par l'effet de cette loi, le cimetière du Calvaire, qui était le cimetière paroissial de Montmartre, devint la propriété de la commune. Il fut ensuite fermé, durant cette période trouble[Laquelle ?], puis rouvert en 1801. Durant cette période, un nouveau lieu de sépulture fut créé sous le nom de cimetière de la Barrière Blanche.
Une fois rouvert, le cimetière du Calvaire accueille alors les sépultures des habitants du quartier : principalement, des membres des familles aristocratiques du « Montmartre d'en bas » (l'actuel 9e arrondissement) de retour d'émigration, mais aussi de quelques habitants du « Montmartre d'en haut »3 (la butte), dont des meuniers. Une fosse commune réunit les restes des soldats tués lors de la prise de Paris par les coalisés, en mars 1814. En 1823, le cimetière ferme pour cause de saturation. Quelques concessions nouvelles sont encore accordées jusqu'en 1831, année de l'ouverture du cimetière Saint-Vincent par la commune de Montmartre4. Depuis lors, les tombes, concédées à perpétuité, ne sont plus utilisées que pour l'enterrement des descendants des familles qui ont acquis les droits.
Tombes célèbres
- Louis Pierre Nolasque de Balbes de Berton
de Crillon (1742-1806), duc de Crillon et général, dont la famille a laissé son
nom à l'hôtel de Crillon (place de la Concorde).
- Étienne-Alexandre Bernier (1762-1806), chef
vendéen, puis négociateur du concordat de 1801 et évêque d'Orléans.
- Louis-Antoine de Bougainville (1729-1811),
amiral, explorateur et comte de l'Empire. La sépulture familiale abrite son
cœur et celui de son fils, ainsi que la dépouille de sa femme.
- Christophe Caires de Blazère (1752-1840),
curé de Saint-Pierre de 1809 à 1822. Il obtint de Napoléon, de passage à
Montmartre, le percement de l'actuelle rue Lepic.
- Les Debray, famille de meuniers de
Montmartre. Nicolas-Charles Debray installa au pied du moulin Blutte-Fin une
guinguette et un bal et baptisa l'ensemble « moulin de la galette ». La tombe
familiale est surmontée d'un petit moulin.
- Félix Desportes (1763-1849), premier maire
de Montmartre, élu en 1790 à l'âge de 27 ans. Diplomate sous la Révolution, il
fut baron et préfet sous l'Empire.
- Mathieu Dumas (1753-1837), général,
ministre et comte de l'Empire.
- Les Duval d'Eprémesnil, descendants de
Jean-Jacques Duval d'Eprémesnil, magistrat, député aux États généraux et à
l’Assemblée constituante, guillotiné sous la Terreur.
- Les Feutrier, famille montmartroise,
propriétaires du Château Rouge avant sa transformation en salle de bal.
- Les Fitz-James, famille aristocratique d'origine
anglaise, dont Édouard de Fitz-James (1776-1838), qui réclama la condamnation à
mort du maréchal Ney et fut député sous la monarchie de Juillet.
- La princesse Galitzine, née Chipoff (morte
en 1804 à 26 ans), amie de mademoiselle Clairon.
- Jacques Guibout (1760-1814), négociant et
passementier. Il fut l'un des quatre gardes nationaux qui sauvèrent la vie de
Louis XVI le 20 juin 1792 aux Tuileries.
- Alexandre Hersant-Destouches (1773-1826),
préfet sous l’Empire et la Restauration, membre du conseil d’État.
- Jeanne de La Bourdonnaye (morte en 1808),
épouse d'un président au Conseil du roi.
- Les Lécuyer, famille de carriers de
Montmartre.
- Charles Jean de Maillé de La Tour-Landry
(1771-1839), comte de Maillé, ami de Charles X.
- Les Montesquiou-Fezensac, famille à
laquelle appartenait d'Artagnan, et les Laborde, dont Alexandre de Laborde
(1773-1842) et son fils Léon (1807-1869), archéologues et membres de l'Institut
de France.
- Jean-Baptiste Pigalle (1714-1785),
sculpteur. Sa sépulture a disparu.
- Anne-Louis Pinon de Saint-Georges, marquis
de Saint-Georges, général, propriétaire du domaine de la Grange-Batelière.
- Les Portal, famille la plus représentée du
cimetière, dont Antoine Portal (1742-1832), médecin et chirurgien de Louis
XVIII et de Charles X, baron, fondateur de l'Académie de médecine en 1820 ; son
épouse ; Pierre Portal (1743-1806), chanoine de l'église métropolitaine de
Paris.
- Les Rigaud de Vaudreuil, dont
Louis-Philippe de Rigaud de Vaudreuil (1724-1802), amiral, député aux États
généraux et à l’Assemblée constituante ; Joseph Hyacinthe François-de-Paule de
Rigaud de Vaudreuil (1740-1817), gouverneur du Louvre, grand fauconnier et pair
de France ; Charles Louis Philippe Alfred Joseph de Rigaud de Vaudreuil (1757-1846),
pair de France ; Jean-Louis de Rigaud de Vaudreuil (1762-1816), général.
- Marie-Anne Riquet de Caraman (1757-1846),
vicomtesse de Sourches, de la famille de Pierre-Paul Riquet, créateur du canal
du Midi.
- Sophie Swetchine (1782-1857), femme de
lettres russe, et son époux Nicolas Swetchine (1758-1850), comte, général et
gouverneur militaire de Saint-Pétersbourg.
- François-Amable de Voisins (1734-1809),
aumônier de Napoléon, nommé baron et évêque de Saint-Flour.
Un hôtel de référence est une chaîne d'hôtel qui offre l'image de marque d'hôtels à fonctionnement indépendant; la chaîne elle-même est fondée par ou détenue par les hôtels membres en tant que groupe. Beaucoup d'anciens chaînes de référence ont été converties en franchises; la plus grande chaîne détenue par des membres survivants est Best Western .
Alors que la fonction de chaîne d'hôtel a disparu aux USA, il n'en est pas de même en Europe. Best Western s'est étendu en Europe où ils sont en compétition avec des chaînes européennes, plus connues sous le nom de franchise comme la les logis franchisés (connus avant sous le nom de Logis de France) et d'autres chaînes en France, Angleterre, Espagne et d'autre pays d'Europe.
Hôtels ferroviaires
Souvent, les compagnies de chemin de fer en expansion construisaient de grands hôtels à leurs terminus, comme l' Hôtel Midland, de Manchester à côté de l'ancienne gare centrale de Manchester et à Londres celles au-dessus de la gare St Pancras et de la gare de Charing Cross. Londres a également le Chiltern Court Hôtel au dessus de la station de métro Baker Street, il y a aussi des grands hôtels de chemin de fer du Canada. Ils sont ou ont été la plupart du temps, mais pas exclusivement, utilisés par ceux qui voyagent en train.
Hôtels en ballots de paille
Le Maya Guesthouse à Nax Mont-Noble dans les Alpes suisses, est le premier hôtel en Europe entièrement construit avec des bottes de paille. En raison des valeurs d'isolation des murs dont il a besoin pas de système de chauffage ou de climatisation classique, bien que le Maya Guesthouse est construit à une altitude de 1.300 mètres (4.300 pieds) dans les Alpes.
Hôtels de transit
Les hôtels de transit sont des hôtels de courts séjours généralement utilisés dans les aéroports internationaux où les passagers peuvent rester en attendant de changer d'avions. Les hôtels sont généralement sur le côté piste et ne nécessitent pas de visa pour un séjour.